La SCPI ou Société Civile de Placement Immobilier est un type d’investissement immobilier dont seul le patrimoine personnel propre à chaque membre est imposable mais pas les bénéfices. Il s’agit avant tout d’un placement en immeuble. Si vous n’avez pas les moyens pour s’investir, il est possible de recourir à des établissements de crédits. Pour ce faire, consultez courtier pret sur internet.
La SCPI : comment ça marche ?
L’investisseur achète une ou des part(s) de SCPI soit directement, en s’adressant à la société gérante qui contrôle les immeubles, soit indirectement, en passant par la Centrale des SCPI (Urban Premium). Après l’acquisition, c’est l’entreprise qui gère la location du ou des biens et lui verse des parts de loyers sous forme de coupons trimestriels selon son quote-part.
Les profits en investissant dans une SCPI
D’abord, en y faisant des placements, on reçoit régulièrement des revenus sans assurer la gestion du bien. C’est aussi un meilleur moyen pour s’enrichir avec un coût d’entrée assez faible et plus encore si vous optez pour une SCPI Pinel qui permet de réduire vos impôts comme la société Urban Vitalim par exemple. Ce qui peut donner un rendement de 2,20% à 2,30%.
Les points négatifs de la SCPI
Il est indispensable de s’assurer d’une part que l’entreprise auprès de laquelle on fait l’investissement a une bonne réputation et d’autre part, la nature de ses immobiliers. Cela pour ne pas se tromper dans le choix de la société de gestion car en cas de diminution de loyers sur le marché, les rendements des SCPI changent. Aussi, il est difficile de gérer la question de la revente des parts car le prix dépend des risques d’incidents défavorables entre l’offre et la demande. En somme, un problème de liquidité qui provoque un blocage aux épargnants.
Quelques points essentiels à toujours prendre en compte
D’un côté, il va bien falloir vérifier si le parc immobilier appartient véritablement à la société en question. Ensuite, n’oubliez pas qu’il y a des frais qui se rattachent à ce type de gestion : les frais d’adhésion payées lors de l’achat des parts (entre 6% et 10%) et les frais pour la gestion de l’immeuble (12% au maximum).